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Note moyenne de cet épisode: 12.6 / 20 (5)
Classement cette saison : 8
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Moyenne de la série : 87.7/100.
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theloutre 
15.0
15.0
Dans la lignée des autres épisodes.
Plutôt solide et toujours bien interprété. On commence par un face à face Farrell-Vaughn sur toile cirée bien foutu. C'est peut-être là le défaut de cette saison. A force de s'arrêter sur l'acting ( Vaughn, Mac Adams et Kitsh dans des contre-emplois) , on en oublie le reste: l'histoire.
Cela fait bien longtemps que j'ai décroché.
Plutôt solide et toujours bien interprété. On commence par un face à face Farrell-Vaughn sur toile cirée bien foutu. C'est peut-être là le défaut de cette saison. A force de s'arrêter sur l'acting ( Vaughn, Mac Adams et Kitsh dans des contre-emplois) , on en oublie le reste: l'histoire.
Cela fait bien longtemps que j'ai décroché.
freda
16.0
16.0
Un des meilleurs épisodes de la saison, le tout s'emballe hate de voir la suite.
travis
13.0
13.0
Le vrai problème de cet épisode était pour moi les scènes clichées et le choix de la musique lors de la scène de l'infiltration dans la maison, ça n'allait pas du tout avec l'action.
Tout ça sent malheureusement les gars derrière la caméra qui visent les Emmys au lieu de juste faire honneur à l'histoire.
C'est dommage car les personnages sont intéressants et attachants. Je reste persuadé que l'intrigue vaut le détour, plus que celle de la saison 1 qui n'a pas payé au final.
Cet épisode n'était pas mauvais non plus mais parfois tellement maladroit qu'il sort le téléspectateur de l'histoire et le met (en tout cas, c'était mon cas) mal à ) l'aise vis-à -vis des acteurs qui sont pourtant tellement bons le reste du temps.
Tout ça sent malheureusement les gars derrière la caméra qui visent les Emmys au lieu de juste faire honneur à l'histoire.
C'est dommage car les personnages sont intéressants et attachants. Je reste persuadé que l'intrigue vaut le détour, plus que celle de la saison 1 qui n'a pas payé au final.
Cet épisode n'était pas mauvais non plus mais parfois tellement maladroit qu'il sort le téléspectateur de l'histoire et le met (en tout cas, c'était mon cas) mal à ) l'aise vis-à -vis des acteurs qui sont pourtant tellement bons le reste du temps.
russel
11.0
11.0
On arrive quand même dans la dernière ligne droite et je me rends compte que je ne suis toujours pas concerné par la résolution de cette investigation.
La faute à trop de blabla. Ca devient terrible ces dialogues interminables et sentencieux pour râler au sujet de la mocheté du monde. Tout le monde n'est pas Rust. Et Rust causait tout en bossant.
La faute à un manque d'affect pour les personnages. On avait compris que Ani avait un problème, un machin à expulser. Bon là on sait désormais qu'elle a été victime d'un hippie pedobear, mais ça aurait du être un moteur de départ plus qu'une révélation à sensation qui tombe à plat. Pareil Ray et son histoire de vengeance familiale loupée, ça ne fait pas ressort, ça sert surtout à distraire. Merci à Paul de ne pas nous avoir encombré avec son homosexualité refoulée dans cet épisode, même s'il a eu un long échange laborieux avec un témoin pour quand même pas trop alléger les 59 minutes.
La faute à des enjeux trop abstraits. La plongée dans la soirée de la haute, genre Eyes Wide Shut m'a paru terriblement artificielle, au point de me demander ce qu'on foutait vraiment là . Ani sauve la gonzesse disparue et limite j'avais envie de lui dire, mais non, laisse tomber elle ne sert à rien dans l'histoire. La phase infiltration était d'ailleurs un peu improbable façon Mission : Impossible. Au final ça pourrait tourner à une lutte contre le système, façon complotiste société secrète Illuminati Da Vinci Code. Mais c'est trop balancé comme un cheveu sur la soupe. Et puis c'est une opération pour FBI, pas pour trois flics complètement cramés. Ils vont en faire quoi de leur contrat compromettant? Le balancer sur Wikileaks? Idem je m'en tape un peu que Frank récupère son disque dur. C'est un pourri, il n'est pas parvenu à me devenir franchement sympathique tant il est barbant avec sa rousse. Casper est mort et son meurtrier peut toujours courir. De tout façon on s'en fout, on ne connaissait pas la victime et c'était surement un con...
La faute à trop de blabla. Ca devient terrible ces dialogues interminables et sentencieux pour râler au sujet de la mocheté du monde. Tout le monde n'est pas Rust. Et Rust causait tout en bossant.
La faute à un manque d'affect pour les personnages. On avait compris que Ani avait un problème, un machin à expulser. Bon là on sait désormais qu'elle a été victime d'un hippie pedobear, mais ça aurait du être un moteur de départ plus qu'une révélation à sensation qui tombe à plat. Pareil Ray et son histoire de vengeance familiale loupée, ça ne fait pas ressort, ça sert surtout à distraire. Merci à Paul de ne pas nous avoir encombré avec son homosexualité refoulée dans cet épisode, même s'il a eu un long échange laborieux avec un témoin pour quand même pas trop alléger les 59 minutes.
La faute à des enjeux trop abstraits. La plongée dans la soirée de la haute, genre Eyes Wide Shut m'a paru terriblement artificielle, au point de me demander ce qu'on foutait vraiment là . Ani sauve la gonzesse disparue et limite j'avais envie de lui dire, mais non, laisse tomber elle ne sert à rien dans l'histoire. La phase infiltration était d'ailleurs un peu improbable façon Mission : Impossible. Au final ça pourrait tourner à une lutte contre le système, façon complotiste société secrète Illuminati Da Vinci Code. Mais c'est trop balancé comme un cheveu sur la soupe. Et puis c'est une opération pour FBI, pas pour trois flics complètement cramés. Ils vont en faire quoi de leur contrat compromettant? Le balancer sur Wikileaks? Idem je m'en tape un peu que Frank récupère son disque dur. C'est un pourri, il n'est pas parvenu à me devenir franchement sympathique tant il est barbant avec sa rousse. Casper est mort et son meurtrier peut toujours courir. De tout façon on s'en fout, on ne connaissait pas la victime et c'était surement un con...
monsieur_ji
8.0
8.0
What. A. Mess.
Confirmation que la saison 1 de True Detective était un moment de grâce. Nic Pizzolatto est beaucoup moins fort que je ne le pensais, je commence à me faire une raison. Cette semaine, après la semaine dernière où j'avais essayé d'apprécier ce que je pouvais de bonne humeur, j'ai facepalmé. Ennui, manque de relief, d'enjeux narratifs, d'humour, de dialogues réalistes, de caractérisation décente... et puis c'est le bordel.
Le nombre de twists et storylines utilisés et sur lesquels on n'est pas revenu jusqu'ici est embarrassant. Ça me rappelle un peu Lost. Sur une saison de 8 épisodes, c'est terrible, quel manque de vision. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. Pizzolatto, il avait une histoire globale pour une flopée de bouquins, par pour une mini-série de 8 épisodes. En revanche au niveau personnages et petits moments intéressants qui t'apprennent qui il sont réellement (pas qui ils ont été), il a que dalle.
Dans True Detective cette saison, les événements s'enchaînent, just because. En vrac. Même dans le montage, on nous sort de scènes comme si on nous sortait du lit, au mauvais moment, pour nous y recoller juste après. Il n'y a que des apparences d'ambiance et des apparences d'histoire, mais c'est complètement disjoint. Ça a été écrit trop vite, on dirait qu'il a repris des notes qu'il avait préparées pour un autre projet, probablement de roman, et qu'il les a forcées sur ce format. Je trouvais étrange qu'il ait pu écrire la saison 2 aussi vite, je ne le trouve plus étrange du tout.
Il faut quand même parler du businesman qui essaie se de faire Bezzerides pendant l'orgie... la caricature absolue ! Je dois avouer que des persos comme ça sur HBO, je n'en ai pas vu beaucoup.
On peut vomir une drogue ingérée par spray, et se retrouver plus ou moins sobre deux minutes plus tard ?
Ray et Paul habillés tout en noir qui se font les vigiles façon Schwarzy dans Commando, et qui écoutent les 2 méchants dans le bureau juste au bon moment pour entendre la grande révélation de conspiration... WTF?
Ray vs le violeur en prison, bonjour les répliques... le pauvre Colin Farrell, j'ai eu un peu pitié, on était si proche du ridicule que je me suis même demandé si on y était.
Des contrats "couverts de... signatures" !! Bah ouais les gars ! La réplique qu'il fallait trouver ! Et pour conclure en plus !
Trop de personnages. Sérieusement, il faut arrêter de péter plus haut que ses fesses, on en est à 6 épisodes et on n'en connaît profondément aucun, ils parlent tous de la même façon, il n'y a aucun enjeu pour personne, rien à attendre. Vera maintenant, et puis Irina ?
Pizzolatto ne semble savoir se tourner que vers le passé, comme un joueur de foot qui ne sait pas jouer vers l'avant et revient toujours derrière, parce qu'il est techniquement limité et que c'est plus sûr. Le nombre de scènes qui nous sont offertes où un personnage regarde vers l'horizon et raconte à quelqu'un une anecdote passée... au secours quoi !
Je me suis battu avec l'envie de faire avance rapide pendant la scène scène interminable avec la femme et le gosse d'un personnage qu'on n'a jamais rencontré et dont on se fout royalement, quand on passe à peine 5 minutes avec Paul dans cet épisode.
En plus de ça, je suis obligé de l'admettre, Pizzolatto n'a pas l'air d'avoir beaucoup d'imagination cette année. Russel reprochait un jour à J.J. Abrams et Shyamalan de tout piquer à d'autres, mais là c'est ça. Ça m'avait frappé dans la saison 1, l'accumulation de clichés et de scènes de genre déjà vues ailleurs, mais je m'étais dit que c'était un exercice de style, une sorte de fabuleux remake, et puis c'était tellement bien fait, j'adorais quand même, mais cette saison, et dans cet épisode, c'est frappant. La scène de l'orgie est un patchwork de concepts et d'idées reprises d'autres films, tout comme les histoires des uns et des autres, la scène de torture, le gang mexicain, et même les scènes sans intérêt (type le flic qui conteste la juridiction de la scène de crime... pitié quoi, on est en 2015, on arrête avec ça et avec la mort de l'oncle Ben !!).
J'ai regardé un peu d'autres critiques en anglais, j'ai pu constater que je n'étais pas fou, la plupart des gens sont assez moqueurs de ce qui est nous proposé cette saison, à juste titre. Curieusement, ceux qui crient au génie, à l'intrigue "complexe", ne semblent pas capables d'expliquer ladite intrigue ou de décrire les personnages principaux autrement que par leur fonction ou leur passé.
La vérité, c'est que dans 10 ans, personne ne se souviendra de la saison 2 de True Detective.
Confirmation que la saison 1 de True Detective était un moment de grâce. Nic Pizzolatto est beaucoup moins fort que je ne le pensais, je commence à me faire une raison. Cette semaine, après la semaine dernière où j'avais essayé d'apprécier ce que je pouvais de bonne humeur, j'ai facepalmé. Ennui, manque de relief, d'enjeux narratifs, d'humour, de dialogues réalistes, de caractérisation décente... et puis c'est le bordel.
Le nombre de twists et storylines utilisés et sur lesquels on n'est pas revenu jusqu'ici est embarrassant. Ça me rappelle un peu Lost. Sur une saison de 8 épisodes, c'est terrible, quel manque de vision. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. Pizzolatto, il avait une histoire globale pour une flopée de bouquins, par pour une mini-série de 8 épisodes. En revanche au niveau personnages et petits moments intéressants qui t'apprennent qui il sont réellement (pas qui ils ont été), il a que dalle.
Dans True Detective cette saison, les événements s'enchaînent, just because. En vrac. Même dans le montage, on nous sort de scènes comme si on nous sortait du lit, au mauvais moment, pour nous y recoller juste après. Il n'y a que des apparences d'ambiance et des apparences d'histoire, mais c'est complètement disjoint. Ça a été écrit trop vite, on dirait qu'il a repris des notes qu'il avait préparées pour un autre projet, probablement de roman, et qu'il les a forcées sur ce format. Je trouvais étrange qu'il ait pu écrire la saison 2 aussi vite, je ne le trouve plus étrange du tout.
Il faut quand même parler du businesman qui essaie se de faire Bezzerides pendant l'orgie... la caricature absolue ! Je dois avouer que des persos comme ça sur HBO, je n'en ai pas vu beaucoup.
On peut vomir une drogue ingérée par spray, et se retrouver plus ou moins sobre deux minutes plus tard ?
Ray et Paul habillés tout en noir qui se font les vigiles façon Schwarzy dans Commando, et qui écoutent les 2 méchants dans le bureau juste au bon moment pour entendre la grande révélation de conspiration... WTF?
Ray vs le violeur en prison, bonjour les répliques... le pauvre Colin Farrell, j'ai eu un peu pitié, on était si proche du ridicule que je me suis même demandé si on y était.
Des contrats "couverts de... signatures" !! Bah ouais les gars ! La réplique qu'il fallait trouver ! Et pour conclure en plus !
Trop de personnages. Sérieusement, il faut arrêter de péter plus haut que ses fesses, on en est à 6 épisodes et on n'en connaît profondément aucun, ils parlent tous de la même façon, il n'y a aucun enjeu pour personne, rien à attendre. Vera maintenant, et puis Irina ?
Pizzolatto ne semble savoir se tourner que vers le passé, comme un joueur de foot qui ne sait pas jouer vers l'avant et revient toujours derrière, parce qu'il est techniquement limité et que c'est plus sûr. Le nombre de scènes qui nous sont offertes où un personnage regarde vers l'horizon et raconte à quelqu'un une anecdote passée... au secours quoi !
Je me suis battu avec l'envie de faire avance rapide pendant la scène scène interminable avec la femme et le gosse d'un personnage qu'on n'a jamais rencontré et dont on se fout royalement, quand on passe à peine 5 minutes avec Paul dans cet épisode.
En plus de ça, je suis obligé de l'admettre, Pizzolatto n'a pas l'air d'avoir beaucoup d'imagination cette année. Russel reprochait un jour à J.J. Abrams et Shyamalan de tout piquer à d'autres, mais là c'est ça. Ça m'avait frappé dans la saison 1, l'accumulation de clichés et de scènes de genre déjà vues ailleurs, mais je m'étais dit que c'était un exercice de style, une sorte de fabuleux remake, et puis c'était tellement bien fait, j'adorais quand même, mais cette saison, et dans cet épisode, c'est frappant. La scène de l'orgie est un patchwork de concepts et d'idées reprises d'autres films, tout comme les histoires des uns et des autres, la scène de torture, le gang mexicain, et même les scènes sans intérêt (type le flic qui conteste la juridiction de la scène de crime... pitié quoi, on est en 2015, on arrête avec ça et avec la mort de l'oncle Ben !!).
J'ai regardé un peu d'autres critiques en anglais, j'ai pu constater que je n'étais pas fou, la plupart des gens sont assez moqueurs de ce qui est nous proposé cette saison, à juste titre. Curieusement, ceux qui crient au génie, à l'intrigue "complexe", ne semblent pas capables d'expliquer ladite intrigue ou de décrire les personnages principaux autrement que par leur fonction ou leur passé.
La vérité, c'est que dans 10 ans, personne ne se souviendra de la saison 2 de True Detective.
Elle est excellente, celle-là . Les mecs font leur travail en fonction d'une cérémonie bidon.
Je préférerais qu'il lui achète un bijou ou une nouvelle toilette...